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  Le grain de sel du capitaine

 
 
 entre Darwin et Singapour
----la grande barrière de corail : nous l'avons traversée de " raine passage " à Thursday island, elle n'a rien de spectaculaire mais c'est un chemin semé d'embûches qui demande une attention de tous les instants, 120 NM de veille attentive.
----le détroit de Torres, c'est un coin mal famé : mauvais temps, courants forts, nombreux récifs, les capitaines sont heureux lorsqu'ils débouchent en mer d'arafura.
----Arafura : qui nous a réservé un coup de vent sévère jusque bien après le golfe de Carpenterie, puis une navigation confortable de Darwin à Kupang.
.Australie : je n'en parle pas car les souvenirs que me laissent les Australiens ne sont pas bons  ( je ne pense pas aux autorités qui appliquent courtoisement une législation trop sévère).
----Indonésie, partie Est : c'est un soulagement de retrouver une mer sans houle, un beau temps généralement bien établi, une myriade d'îles, presque toutes très belles au nom évocateur d'îles de la sonde, seul bémol, les mouillages nombreux et beaux ont des fonds(des sondes ??) bien trop grands pour nos 50 m de chaîne, il n'est pas rare de  devoir s'installer dans 20/25 m d'eau, et parfois du corail (nous avons eu la chance de ne pas engager l'ancre). Nous avons fait cette croisière indonésienne
au sein du rallye " sail indonésia " qui nous aplanit tous les problèmes administratifs (je recommande  à tous ceux qui vienne par-là de faire de même, d'autant que l'on n'est pas tenu de suivre avec rigueur leur programme). Nous avons visité en détail : Timor-Alor-Flores-Sumbawa-Rinca-- Lombok -et Bali, nous irons ensuite à Bornéo et nous quitterons l'Indonésie à Batan, juste avant Singapour.
Notre nouveau génois nous donne satisfaction, depuis Darwin, côté technique aussi, le temps s'est mis au beau!
----le bateau et l'équipage se portent bien !!!
 
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L'INDONESIE……………
1-Darwin-Kupang   (île de Timor)
                                              
2-île de Timor------île de Sumbawa
                                              
3-île de Sumbawa-------Singapour
 
 
 
 
1----Il est un fait certain, c'est que depuis longtemps, plusieurs mois, nous déplorions des traversées pénibles, dures mêmes. Eh bien celle-ci ressemble vraiment à nos navigations méditerranéennes où la mer se lève très rapidement mais se calme aussi vite. Ce fut le cas de la première journée et de la première nuit. Ensuite, un faible vent arrière, générant un temps mou, nous dûmes nous aider du moteur souvent -3 jours et 4 nuits à rouler……………Mais, pendant la dernière heure de traversée, peut être pour nous empêcher de sombrer dans la fatigue, le vent peu à peu monte jusqu'à 22 noeuds. Nous éclaboussons beaucoup car il est debout. Enfin, nous jetons notre ancre par le fond, 6 jours à vivre le mat vertical !!!!!!

Nous voici aux portes de l'indonésie.
        On n'imagine pas si on ne l'a pas vécu, la joie ressentie à la perception d'une côte au lever du jour. C'est aujourd'hui l'arrivée à Kupang ( île de Timor). le vent est faible, la mer plate, le soleil brille dans un ciel sans nuage, il est 9h30. L'effervescence règne sur Cers. Jean -Claude hisse le drapeau indonésien et le pavillon jaune car nous sommes en quarantaine jusqu'à la visite des autorités compétentes. Je range, pas trop car alors il paraît qu'elles s'installent plus longuement!
 Je jette de temps en temps un œil dehors pour me rendre compte ! Que nous réserve ce pays où pour une fois nous arrivons sans bris de matériel ! mais avec seulement 20 jours de gaz ! Il nous a été impossible de remplir notre bouteille en Australie.
         7 semaines déjà qu'au sein du " Rallye Sail Indonésia " nous naviguons d'île en île, reçus magnifiquement chaque fois. Une ou plusieurs excursions à chaque escale nous font approcher leurs populations semblables et différentes pourtant.

 Leur gentillesse et leur gaîté légendaires sont réelles. Leur folklore nous étonne souvent par sa diversité dans le détail.

A plusieurs reprises des villageoises nous ont revêtus de leur costume ( blouse et sarong ), c'est pieds nus que nous avons visité leurs villages (ouïe ouïe ) et parlé en anglais (oui) avec leur chef.
 

 

 
 

Je pense à l'un d'eux, Wara, qui nous a présentés à ses ancêtres lesquels se sont engagés à nous protéger pendant le reste de notre voyage. Il faut savoir que les tombes familiales sont parmi les cases du village, participant à la vie communautaire et surveillant même la  conduite des vivants !!!!!
        Tenter aujourd'hui de témoigner de nos 1éres escales indonésiennes me paraît être une tâche très difficile.
          Ce matin, dimanche 9 septembre 2007, nous naviguons au milieu du site exceptionnel entre Florès et Sumbawa. C'est un dédale d'îles et d'îlots plus beaux les uns que les autres. Dépouillés de végétation, quelques palmiers et arbres dispersés, ils sont recouverts d'une herbe jaune d'or quand le soleil l'éclaire (nous sommes en hiver et il ne pleut pas) et ceinturés alternativement de mangrove, de plages claires, ou de petites falaises blanches. Généralement, l'horizon et la mer du large ont disparu pour offrir à nos yeux admiratifs une succession de crêtes douces créant suivant les éclairages, des plants allant du flou à contre jour pour les plus lointains aux pentes creusées de vallées diversement orientées et que le soleil façonne de ses rayons ardents. Trois couleurs, douces, dominent la mer qui les encercle : l'ocre jaune du sol herbeux, le vert éteint des quelques arbres et le gris acier des rares rochers. La mer elle, passe du bleu turquoise sur fond de sable au vert sombre des
profondeurs, modestes ici et abritant des coraux qui font notre régal de plongée avec masque et tuba.
             Participer au Rallye nous évite les complications administratives avec les pourboires inévitables et nous offre les spectacles de danses, particulières à chaque île ;

 

 

danses en costumes locaux de charmantes jeunes femmes, très jeunes gens, et quelques hommes.
 

 

 Notre périple le long des îles indonésiennes est tel que nous ressentons nettement l'évolution de cet art complet mais dont nous ne percevons pas toutes les subtilités de son gestuel. Les cérémonies d'arrivée et les " Gala-dinner" sont alors des moments de bonheur. A chaque escale nous sont proposées des excursions pittoresques vers l'intérieur. L'aventure commence alors avec les moyens de transport et l'état des routes qui dès la sortie des villes de départ sont des pistes faites de terre et de gros cailloux, comme à Kupang celle que nous avons subie pour nous rendre jusqu'à un vaste lieu de villégiature locale. Ce jour là il nous a fallu, à10 km/h en moyenne, rouler, pendant 4h pour pénétrer l'île de Timor !!!!!! Le soir,les reins cassés, la gorge étouffée de poussière nous retrouvons nos bateaux et leur confort, doublement comblés. Mais nous sommes malgré tout prêts à recommencer à la première occasion !!!!!!

Sumbawa et Lombok……………………………
 
      Ces îles nous réservaient bien des moments agréables, des mouillages inattendus, des mésaventures sans lendemain aussi.
       Deux mouillages à Sumbawa avec ¾ de nuit pour l'une et une journée devant une plage de sable noir pour l'autre. Une courte visite à terre, nous fait là encore et sans le secours du rallye, connaître des jeunes forts accueillants et leur famille. Ils nous amènent au vaste chantier d'un futur barrage en vue de la création de rizières ; séchage de rotin et exploitation forestière sur le trajet et nous repartons plus riches d'amitié aussi spontanée et sincère que brève.
      Lombok est la suivante de ces îles de taille moyenne. Nous y avons eu quelques difficultés à trouver un ancrage sûr tant le vent qui nous accueille est fort. Il le restera encore des jours durant. Mais la météo annonce même une aggravation ce qui incite Jean-claude et Michel de " virus en mer "( un super maramu 2000, nos actuels compagnons de route) à continuer vers Bali où il est prévu de rester jusqu'au 30 septembre.
 
Carte postale de BALI.
 
           Il est quasi impossible de faire deux traversées identiques, il y a toujours un élément qui a changé, celle qui nous mène du mouillage de l'île de Aer, face à Lomboc, à la 1ere escale sur Bali est très ventée, 30 Nds ça blanchit la mer, fait gîter le bateau et attendre le prochain arrêt avec l'impatience que l'on imagine.
           Personne n'aime se laisser battre trop longtemps, aussi nous nous arrêtons dès que possible, c'est alors un paysage doux et harmonieux qui nous récompense : une plage de sable noir couverte de barques blanches et bleues. , Longues et étroites  leurs balanciers maintenus par d'immenses bras blancs les font ressembler à de grandes araignées à voile.
           Le lendemain matin elles sont toutes sur la mer semblant vouloir occuper tout l'espace, frêles et élégantes avec leur unique voile triangulaire bleue ; C'est tout bonnement féerique au lever du soleil alors que le vent faible nous réveille de ses caresses.
          Longer Bali à faible distance est un ravissement, les cocoteraies se succèdent sur l'étroite plaine côtière et escalades les pentes. Dommage qu'il y ait tant de pylônes  blancs et rouges, des relais téléphoniques sans doute.
          La renommée de Bali n'est plus à faire, seulement peut-on faire coïncider les rêves de chacun avec la réalité ? Pour nous en assurer nous décidons de passer la première journée à la ville la plus proche : Singaradja, l'ancienne capitale sur la côte Nord où est notre mouillage de Lovina beach distant de quelques kilomètres. Commence alors pour nous  l'émerveillement devant ses temples et ses danses. Chaque village en compte 4 ou 5. Nos premières danses balinaises nous sont offertes le lendemainà l'occasion du dîner d'accueil donné en bordure de la plage sur le sable. Nous assistons à des ballets de 1, 2 ou plusieurs danseuses.

 

 

 Elles sont ultra fardées, de façon théâtrale. Leur costume scintille au soleil. Couvertes de bijoux dorés, tendues de la tête aux pieds (nus), cambrées à l'extrême, pieds et jambes, mains et bras figés en postures expressives ou animes de lents

mouvements suggestifs elles miment à l'orientale et au rythme de l'orchestre à percussion. Pour nous, occidentaux, cela
reste mystérieux et pas un d'entre nous qui ne soit figé d'admiration diversement ressentie, que l'on soit un ou une !

  La danse du feu, mystérieuse aussi, la nuit étant noire alors, nous laissa tous et toutes interdits quand, drogués et en transes, trois ou quatre hommes s'élancèrent sur les braises de coco. Il paraît qu'ils ne redeviennent normaux que le lendemain.
         Décidée depuis longtemps notre excursion de 2 jours en voiture de location : nous voulons traverser l'île jusqu'à Dempasar / Bénoa sa capitale en faisant un circuit tout personnel. Arrêts multiples sur le trajet : cascades,
 

 

temple de Ulum danu, majestueux fleuri et nous offrant outre les édifices du culte bouddhiste un parcours ombragé de splendides arbres.

 

 

Dempasar est bien la ville que l'on imagine, très étendue, commerçante, grouillantes, colorée

 

 y circuler en voiture alors qu'il n'ya que vélos, petites motos au parcours incertain et bémos en maraude( petits véhicules de transport public sans itinéraire bien défini) est dangereux. En plus la conduite est à gauche, mais en fait ils sont partout et dans tous les sens. Nous en sommes sortis indemnes ! Apres une nuit à l'hôtel, à Kuta, bourgade balnéaire réputée pour ses " windsurfistes ",

 nous prenons un "  bain de marché " de nouveau à Dempasar :

Epices, fleurs préparées pour les offrandes multi journalières nous enchantent. Et…….
sur la côte ce sont deux heures dans l'inoubliable temple de Tanah Lot. Envoûtée, je le suis par le parc fleuri et ses arbres centenaires, les éléments religieux indescriptibles de beauté, le tout en bordure de mer. La côte est rocheuse et sombre tout comme les édifices. La mer verte est mousseuse. Tant de beauté incite à la contemplation, à la méditation. Nous sommes conquis.
       Il nous restait à contempler les paysages de rizières de montagne que nous offre pour finir notre route de retour par ailleurs sinueuse et traversant de nombreux villages enjuponnés de jaune : c'est la pleine lune et ici c'est motif à la fête. La culture du riz ne semble pas rythmée pour tous de la même façon. Ainsi nous pouvons voir successivement du riz tout juste repiqué ou mûr récolté récemment et en train d'être battu. Elle est familiale chaque fois que l'importance et la rapidité de l'ouvragel'exigent. Rizières vert pâle ou jaune d'or et cocoteraies à perte de vue nous font apprécier notre route à la circulation difficile ?
      Une dernière escale avant de quitter Bali comble d'images de toutes sortes,    notre imagination va maintenant vers Bornéo (Kalimantan aujourd'hui) où nous avons rendez-vous avec la foret équatoriale et ses vedettes les orang outans.
 
 
 

  

 La belle de Bali et la bête de Bornéo auraient-elles inspirée Cocteau en son temps ?
 
BORNEO (Kalimantan de nos jours) :
 
---Apres deux étapes pour la nuit à Raas island et Bawean  nous arrivons à Bornéo.
 
       Encore une nuit dans l'embouchure de la Kumay river et nous remontons le fleuve large boueux et dont le courant est accentué ou freiné par la marée. Nous retrouvons les bateaux du rallye et tout de suite cherchons à organiser nos deux jours en foret. Les faiseurs de tours sont prêts, nous aussi. Dès le lendemain nous nous précipitons dans l'aventure de la vie sauvage, foret équatoriale, crocodiles, reptiles, oiseaux, petits singes, cochons de foret et orang outans qui à eux seuls ont motivé
un détour de 280 Nm vers leur royaume et 280 autres pour reprendre et terminer notre magnifique navigation en indonésie.
        Nous vivrons deux jours accroupis à l'étage d'un " klotok ", bateau plat à moteur navigant sur les rivières pour les touristes visitant le parc national  de Tanjung putung : Un capitaine et son aide, un cuisinier chinois aussi et un guide parlant français se sont employés à nous faire des souvenirs inoubliables, tout sourire et dévouement sans limite. Nous sommes au début du printemps, seuls quelques arbres prennent des couleurs surprenantes, mangrove, palmiers, grandes et larges herbes,
pandamus, cocotiers, cachent les berges et la foret profonde où nous allons en début d'après-midi.

L'orang outan est un grand singe de 1,40 m, ne vivant qu'à Bornéo et Sumatra. Recouvert de longs poils fauves, son corps entier est manifestement adapté à la vie arboricole, bras et jambes indifférenciés terminés par des mains et des pieds aux longs doigts osseux qu'ils tiennent refermés lorsqu'ils marchent à plat sur l'estrade où ils viennent chercher bananes et lait proposes par les hommes. C'est
que les 415000 hectares du parc ne suffisent pas à nourrir les 200 individus qu'il compte. Il faut donc les aider surtout en hiver où les fruits qu'ils affectionnent ne sont pas disponibles. L'idée que nous nous faisons de la vie sauvage est plus qu'égratignée lorsque nous voyons et entendons les gardes les appeler à grands cris entre 14 et 15 heures et aux endroits prévus. Ils remplissent de lait des demi jerrycans, disposent des bananes et nous attendons. Le premier groupe arrive,ils se servent goulûment,boivent le lait et en cabots payés pour çà nous gratifient de singeries et acrobaties inédites. Sous l'estrade des cochons de foret attendent pour dévorer les peaux de bananes. Ils semblerait que les uns craignent les autres ! Les mères qui ont un petit chaque 8 ans bougent toutes avec leur dernier-né cramponné sur leur dos et arrivent même à nous frôler de temps en temps ! Le groupe vu le deuxième jour nous a un peu réconciliés, ils ne répondent pas forcément à l'appel des gardes, ne se servent qu'un par un après une longue mutuelle et craintive observation. La  hiérarchie a ses lois, ils la respectent ou se battent.
       Nous rentrons sous la première pluie de mousson. Le lendemain est consacré à l'avitaillement avant de reprendre la mer pour 50 heures vers Belitung Island et la dernière étape du rallye.
 
SINGAPOUR:
 
-------Une île de 682 Km2, une ville, un état qui si l'on en croit les dépliants touristiques est comparable à une petite Suisse du sud-est asiatique.
Ses valeurs sont celles que j'affectionne: développement économique,sécurité,propreté,travail, famille, elles rythme la vie des singapouriens dans la tolérance et la cohésion sociale.
 
                                                     

          Singapour devait être pour nous une étape de travaux--10 jours de recherche de matériel et de réparations diverses. Il est impossible de fair une seule impasse dans ce domaine-- Il est vital que CERS soit maintenu en forme si nous voulons qu'il nous fasse boucler notre tour dans la joie et la bonne humeur!
Nous avons malgré tout consacrés une journée entière et une soirée à la découverte de cette ville-état orientant nos pas vers les quartiers particuliers comme "Chinatown" et "little india" pour cela nous avons quitté "Raffle marina" dès 8 heures, pris la navette la reliant plusieurs fois par jour aux premiers points commerciaux et à la tête de ligne du métro aérien, pas cher,climatisé et ultra-moderne fierté des singapouriens. nous prenons ensuite le métro souterrain doté des mêmes qualité et immédiatement nous nous sommes retrouvés dans un monde coloré et grouillant, les vieilles maisons cohabitant avec les gratte ciels.
 

 Un temple boudhiste, haut lieu du receuillement nous a rendus muets et contemplatifs. Un autre, indou, nous a, le temps d'une brève visite, plongé dans un monde inconnu, fait de parfums d'encens et voué à des dieux omni puissants et respectés.
 
               

 
 Une rue commerçante toute d'échoppes faite a sollicité jusqu'à en être étourdis notre étonnement et notre curiosité, les tissus, articles d'artisanat, bimbeloterie, occuppent tout l'espace de ces mini commerces. Impossible de ne pas flâner à la nuit tombée, nuit qui transforme la ville qui devient alors superbe et lumineuse, chaque édifice essayant de surpasser ses voisins en magnificence. Toute la végétation fleurie ou non devient fantomatique, et c'est le "Raffle hotel" qui dépasse en splendeur toutes les bâtisses modernes alentour pourtant elles aussi remarquables, c'est aussi après le "Merlion" (lion à corps de poisson, symbole de Singapour) le "boat quay et sa ribambelle de restaurants en terrasse au dessus de l'eau .

 Tout est fleuri mais aucune fleur fanée par terre, aucun papier, aucune canette.... la ville est "nckel", lumineuse, ordonnée... les gens paraissent "cool", je n'ai vu personne qui semblait sur les nerfs ou stressé, train aérien,métro, navettes gratuites diverses, tout est "clean"..
 
 
 
Monique.
 
 
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  Le grain de sel du capitaine

 
L'Indonésie :
 
Mer de Timor, de Java, mer de Chine du sud----Bali, Bornéo, Flores, Java, Komodo……. ces noms ont quitté le domaine des abstractions mystérieuses pour entrer dans un concret qui nous a enchantés :
--nous avons retrouvé des mers sans grandes houles( reste les vagues du vent, bien sûr)
--nous avons découvert des paysages très différents de ceux de l'atlantique et du pacifique
--nous avons rencontré une population au physique très typé : petit gabarit-traits fin-femmes belles-et au caractère avenant, souriant-au folklore spécifique, les danses en particulier sont très gracieuses et très élaborées : le travail du corps et des membres principalement, chez les femmes mais aussi chez les hommes-les costumes traditionnels aussi.
 
En un mot nous avons découvert le sud-est asiatique, il s'inscrira parmi les temps forts de notre voyage.
 
Lorsqu'en Europe on parle de l'Indonésie  c'est pour évoquer des attentats, des tsunamis, tremblements de terre, éruptions volcaniques et autres catastrophes humaines (ferry bondé coulé avec tous leurs passagers).. Etc.… cela doit-être vrai puisque c'est dans le journal…nous avons eu la chance de ne rien voir de tout cela.

 
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Indonésie
© 2009